MASSIVE ATTACK – Le groupe de Bristol, Massive Attack, envisage d’intenter une action en justice contre le parti conservateur anglais, après que celui-ci ait utilisé une de leurs chansons – Man next door – pour un documentaire politique. Le groupe se dit: « outré que ce titre ait été utilisé à des fins politiques et ce, sans autorisation ». Enfonçant le clou, les Bristoliens ont précisé que toute utilisation de leur musique par un parti ou une organisation quelconques serait combattue avec force. Massive Attack redoute en effet que l’utilisation de sa musique sur un support idéologique, soit associée à une adhésion du groupe à certaines idées. Le parti conservateur anglais a donc tenté de minimiser l’incident, arguant du fait que la musique n’avait été utilisée que comme fond sonore, et non comme générique officiel du documentaire. Convaincus? R.M

TLC – Le trio de R&B américain TLC est pour l’instant réduit. On est en effet toujours sans nouvelles de la chanteuse Left Eye, qui depuis le 31 août dernier n’a plus donné signe de vie. Lisa Lopes est connue pour son sale caractère, ce qui explique que sa disparition ait pu passer au début pour une saute d’humeur. Mais maintenant, le manager et les autres membres du groupe se déclarent très inquiets. Annonces et appels à témoins ont donc été publiés dans les journaux de New York. Lisa Lopes, aka Left Eye, semblait pourtant en forme, avant de disparaître et de rater un important repas de famille. Tous ses proches espèrent que ce n’est qu’un coup de gueule de plus dans la vie de Lisa: la chanteuse est en effet réputée pour se disputer souvent avec ses partenaires, mais aussi pour avoir mis le feu à la maison de son ex-fiancé, le footballeur américain Andre Rison. R.M

RAGE AGAINST THE MACHINE – Le bassiste du groupe de Rage Against the Machine a passé la nuit du 7 au 8 septembre dernier en prison, après avoir semé le trouble lors de la cérémonie des Video Music Awards. C’est pendant que Limp Bizkit attendait la remise de sa récompense pour le meilleur clip rock, que Tim C. et Pete Beattle, un agent de sécurité de Rage, auraient décidé de se suspendre aux piquets de la salle. Des agents de sécurité ont donc dû intervenir pour les faire descendre, non sans mal, avant de les emmener hors de la salle, puis au poste de police. Le lendemain, Tim C. et Pete Beattle sont passés devant une cour de Justice, à Manhattan. Tous les deux auraient plaidé coupable et reconnu leur mauvaise conduite, ainsi que leur obstruction à la justice. R.M