La journaliste télé a obtenu gain de cause ce jeudi dans son procès face au magazine Closer qui lui prêtait une relation intime avec Nicolas Sarkozy.

Le tribunal de grande instance a tout d’abord condamné la société éditrice du magazine à verser à Laurence Ferrari 12 000 euros de dommages et intérêts (La présentatrice phare de la chaîne cryptée en réclamait 30 000). Closer devra aussi rembourser les 3 000 euros engagés par la journaliste dans ses frais de procès et afficher le jugement en couverture de son prochain numéro. Le tribunal a considéré que les articles repris dans des médias européens portaient « atteinte au droit de Laurence Ferrari au respect de sa vie privée » dans la mesure où ils ne participaient pas non plus « à un débat d’intérêt général ». Pour apprendre en plus, quelques jours plus tard, que Nicolas Sarkozy fréquentait quelqu’un d’autre…