ROLLING STONES – On apprenait il y a quelques temps que Mick Jagger, vous savez le chanteur du meilleur groupe de rock du monde intergalactique à bignifutage intégré (très important d’ailleurs le bignifutage intégré pour le plus grand groupe de rock du monde intergalactique. Vous le saurez en lisant la suite), que Mick Jagger donc était mis en cause dans une sombre histoire de grossesse d’un top(less ?) model brésilien, Luciana Gimenez Morad (alors qu’on en a vu tombée enceinte sans jamais avoir rencontré Mick Jagger et qu’on en a vu aussi pas tombée enceinte après…). Jerry Hall, femme du précité Jagger depuis Hou la la… et mère de ses cinq enfants (mais elle, elle l’a vraiment rencontré Jagger !) avait donc demandé le divorce auprès des tribunaux anglais pour vingt-huit millions de Livres (quelle erreur, auprès des Américains, elle pourrait demander carrément plus de fric !). Alors que fait le Mick ? Et bien, il se calme très très vite : Premièrement, il dément être pour quoi que ce soit dans la grossesse de cette jeune brésilienne. Les tests ADN démontreront qui avait raison. On est juste formel sur le fait que ce n’est pas Yves Montant le père ! Secundo, il arrête de faire le guignol sur une scène de rock pour se consacrer aux commentaires de matches de cricket pour Talk Radio. C’est vrai que c’est moins fatiguant le cricket et puis on peut rester à la maison entre deux matchs. Tercio, puisqu’il est à la maison, il reprend les choses en main. « Non mais, ça va pas du tout depuis que je suis en tournée avec les potes ! », aurait-il déclaré à la marmaille (il veut parler des olling Stones quand il dit « les potes »). Et pour le prouver, il interdit à sa fille de quinze ans Elizabeth de poursuivre sa carrière (déjà bien entamée) de mannequin. « Tu ne vas pas faire le même métier de fainéant que ta mère, non ? Et tu vas retourner à l’école plus vite que ça ! », lui aurait-il asséné (en anglais, bien sûr. On traduit… approximativement.). D’ailleurs, pour être sûr qu’elle ne va pas sécher les cours, ce bon vieux père Mick l’envoie directement en pension, au Wellington College, un des plus sévères, pour 12.000 livres (16.800 euros) par an. Rien que ça ! Mais comme il s’est trouvé un nouveau (bon) boulot (cf. Plus haut), cela ne devrait pas trop lui coûter ! Contente que l’homme soit rentré au bercail, Jerry Hall a donc embrassé son mari devant tout le monde (rassurez-vous les filles -et les garçons-) sur la joue (ha !) à une avant première très classe. Ouf, tout est bien qui finit bien dans le monde cruel du rock’n’roll.