WILL SMITH – Will Smith a plus d’une corde à son arc… On le connaissait déjà acteur et chanteur, et bien le voici maintenant écrivain. Le rappeur vient en effet de publier un premier ouvrage intitulé The Two of Us. Et attention, il ne s’agit pas d’un roman d’amour ni d’aventures mais d’un petit livre illustré destiné aux plus jeunes lecteurs. C’est en quelque sorte une adaptation littéraire du morceau du même nom que le chanteur avait écrit pour son fils Trey âgé de 8 ans. Will Smith qui rêvait de concrétiser ce projet depuis des années, a également déclaré qu’il avait attrapé le virus de la plume et que ce livre pourrait bien inaugurer une longue série d’ouvrages similaires. Pour l’instant, aucun nouveau projet n’est en cours d’édition, pas plus que d’album en cours d’enregistrement et pour cause: la star américaine se prépare activement pour le rôle de Mohammed Ali dans l’adaptation cinématographique de la vie du célèbre boxeur. Will qui suit un entraînement sportif très intense depuis quelques semaines aurait déjà pris une bonne dizaine de kilos (de muscle) histoire d’être vraiment crédible sur le ring de boxe…

JULIA ROBERTS –

MARIAH CAREY – Mariah Carey va déjà honorer le contrat qu’elle vient de signer avec Virgin. En effet, la diva va bientôt commercialiser la bande originale de All That Glitters dans lequel elle tient, rappelons-le, le rôle principal. La galette qui s’intitule tout simplement Glitters sera disponible dès le 21 août prochain, soit 10 jours avant la sortie du film sur les écrans américains. Pour info, sachez que Mariah a enregistré une nouvelle version du tube 80’s Last Night a Dj Save My Life avec en prime les manettes de Dj Clue qui avait déjà produit le tubesque Heartbreaker. Le premier single extrait de la BOF, Lover Boy, sera quant à lui disponible dès le 25 juin; et comme Mariah Carey adore les featurings, ne soyez pas trop surpris de retrouver Da Brat et Ludacris à ses côtés.

KHALED – Khaled vient d’être condamné à 2 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Nanterre pour non paiement de la pension alimentaire à l’un de ses enfants. Précisons que Khaled n’a jamais voulu reconnaître le fils, aujourd’hui âgé de 6 ans, qu’il a eu avec sa précédente compagne. A ce sujet, le roi du raï avait déjà dû s’expliquer devant la justice française pour avoir eu un comportement violent envers la jeune maman. Plusieurs fois battue, cette dernière avait alors porté plainte pour coups et blessures il y a quelques mois, et avait finalement négocié un arrangement à l’amiable avec les avocats du chanteur.

AALIYAH – Aaliyah a récemment convié tout le gratin du hip hop à Harlem, le quartier black de New York, pour le lancement de son quatrième album éponyme qui sera commercialisé le 19 juin prochain. L’opus s’annonce d’ores et déjà comme une véritable bombe puisqu’il contient entre autres, plusieurs titres signés Missy Elliott avec quelques productions de Tank et Digital Black. Et pour inaugurer la galette, un premier single intitulé We Need a Resolution, écrit par Static du groupe R&B Playa avec aux manettes le célèbre Timbaland, devrait bientôt arriver dans les bacs. Par ailleurs, la chanteuse qui est aussi actrice depuis peu, vient d’être nominée aux Break Trought Awards pour son rôle dans le film Roméo Must Die. Ce qui n’est pas pour déplaire aux producteurs de Matrix II qui l’ont récemment choisie pour donner la réplique à Keanu Reeves.

GUNS N’ ROSES – Au grand désespoir des fans qui attendaient avec beaucoup d’impatience leur venue en Europe, les Guns’N Roses ont annoncé qu’ils annulaient momentanément leur tournée car l’un des membres de la formation a de gros soucis de santé. En effet, Buckethead, le guitariste, souffre d’une hémorragie interne et les médecins qui le suivent lui ont imposé plusieurs semaines de repos. On ne sait pas encore si cette tournée de 14 dates qui devait débuter le 1er juin en Allemagne sera reportée mais les fans qui attendent le retour des Guns depuis bientôt 8 ans espèrent bien que les rockeurs reprendront la route dès que Buckethead sera rétabli. Rappelons au passage que la nouvelle formation du groupe n’a pour l’instant joué qu’à Las Vegas et à Rio en janvier dernier.

FATBOY SLIM – Le fait de porter des lunettes noires et de s’appeler Fatboy Slim n’est pas suffisant pour être un VIP? Et oui, alors qu’il montait les fameuses marches du festival de Cannes en compagnie de son épouse Zoe Ball, l’artiste qui était venu pour la promotion du film Moulin Rouge s’est vu refuser l’entrée du Palais des Festivals car il ne portait pas de noeud papillon. En effet, les agents de la sécurité n’ont pas reconnu le célèbre Dj et l’ont traité comme un simple invité anonyme. Normal, quand on cultive trop le mystère autour de son identité, il ne faut pas se plaindre de passer inaperçu! Fatboy a donc dû se plier à la terrible dictature du dresscode cannois et ce grâce à un badaud qui, heureusement, avait eu plus d’oeil que les physio de Palais et qui lui a généreusement offert son noeud pap’ en échange d’un autographe.

MEL GIBSON –

E-TERVIEW – Nuttea explore et revendique le reggae comme un style élastique et adaptable à des univers différents, actuels, occidentaux, citadins. C’est en tous cas le propos qui se cache derrière la diversité de Un Signe du Temps, dernier album de ce guadeloupéen d’origine, autoproclamé agitateur. Ca tombe bien, il est né en 1968 et ses oreilles ont d’abord goûté à Hendrix, Santana, Marley, Peter Tosh et Armstrong… Nuttea est actuellement en tournée dans toute la France avec Lord Kossity et Daddy Mory; pour les détails, cliquez ici. Ton album commence par un morceau étonnant, Sonate pour un Petit Soundboy. Qu’est ce qui t’a donné envie de te taper un délire opéra classique ? D’autant que c’est le morceau que l’auditeur découvre en premier… Nuttea: Mon père écoutait beaucoup d’opéra quand j’étais petit, c’était pour lui faire un clin d’oeil. Je trouvais cela marrant aussi de le mettre en premier pour interpeller l’auditeur. J’essaie de montrer une certaine ouverture dans la musique que je fais. Est-ce que j’ai peur d’effrayer les fans ? Non car je suis ouvert musicalement, tout artiste se doit d’étonner son public… Ta voix te permet de chatouiller des registres différents, sur le premier couplet de Elles Dansent, on croirait entendre Henri Salvador… Tu envisages de faire des morceaux de moins en moins classables ? C’est pas un album de ragga pur, c’est un album reggae. Je voulais montrer l’éclectisme du reggae. Pas seulement les riddim roots. Le reggae c’est aussi le rock steady, le hip hop reggae, le dance hall… Pas seulement Bob Marley ou Steel Pulse. C’est aussi Shaggy, par exemple. Et des groupes des années 80, comme Madness, Nina Hagen, The Police, qui ont tous été influencés par le reggae. J’aime aussi le blues, et le reggae peut être blues. C’est dans cet esprit que tu as intitulé le titre le plus reggae de l’album Le Blues du Fugitif ? Oui. Apparemment tu n’aimes pas utiliser les fantasmes de violence pour séduire les jeunes. C’est un point que vous partagez avec Akhenaton. Comment s’est calé son featuring sur N (Haine) ? Akhenaton je le connais depuis la 25 ème image. On se connaît depuis un moment. Là je voulais pas un ragga hip hop, je voulais un vrai riddim hip hop. Akhenaton c’est un pote ! T’écoutes quoi en hip hop ? En français j’aime bien IV My People, certains trucs du BOSS, Of Scandalz, Lunatic. Et US ? Moss Def, enfin Rawkus en général. Common, Pharaeo Monch, Outkast aussi. Attends parce que j’ai pas beaucoup de mémoire, je suis en train de regarder les disques que j’ai chez moi… (rires). Mais j’écoute plus de la soul en fait. Al Green Shaka Kahn, les jackson Five, Zap, Ohio Players. C’est de la funk des 70’s vénère, hardcore; l’autre versant c’était Earth Wind & Fire, Kool and the Gang. J’aime aussi Isley Brothers. J’ai plein de compiles de soul en fait…(rires) On dirait que tu n’aimes pas te cantonner à un style, que tu te sens à l’étroit… J’essaie tout simplement de chercher ce qu’il y a de mieux, et ce qu’il y a de mieux c’est en nous! (rires). Pas ce qu’on aime ou ce que l’on essaie d’être… Je pourrais ajouter Yellow Man! Mon truc quand j’étais petit c’était de trouver ce que les autres ne connaissaient pas. C’est un trésor de jeunesse musical. J’ai envie que ça ressorte. De la soul au funk en passant par le reggae. Les reprises reggae te renvoient souvent à d’autres styles musicaux: Maurice Green, Otis Redding. Ce n’est absolument pas un style musical fermé comme on essaie de le faire croire… Tu ne penses pas que cette image fermée vient de cette idée de la Jamaïque, comme une bulle impénétrable car très spirituelle depuis la racine jusqu’à la tête ? C’est clair que la Jamaïque ressemble à une bulle, mais ici, on adapte le reggae à ce que l’on vit. La Jamaïque a avant tout une culture forte qui marque tout ce qui en découle, ce qui en sort. Pourquoi les rastas sont végétariens ? Parce que ça vient de l’hindouisme. Les hindous ont été importés comme esclaves. Mais eux ne travaillaient pas sans leur herbe de Kali… Tout est parti de là en fait. Le mouvement rasta peut s’étendre, mais uniquement si on en a une approche culturelle, pas une image d’Epinal. Les rastas ont inventé le reggae roots, mais avant existait le ska et le rock steady. Les rastas ont en fait ralenti et adouci les rythmes qui existaient déjà… Comment s’est arrangée ta collaboration avec Haendel Tucker qui est aux manettes sonores de ton album ? C’est surtout la force des choses. Son studio est à Philadelphie… En même temps je me suis dit que ça me ferait pas de mal de changer d’air. Donc du coup j’ai découvert une ville mortelle. C’est un véritable carrefour des plus grands musiciens soul. Pour trouver un guitariste, il suffit de marcher dans la rue. (rires). Dans Le Monde Part en C… tu as une approche assez critique de l’actualité mondiale. Qu’est ce que t’inspire la décision de Bush de ne pas souscrire aux accords de Kyoto sur la réduction de l’effet de serre ? Ca me fait halluciner, c’est une régression de l’Amérique qui est balaise. Les Américains ont parfois des oeillères. Il faut qu’ils se réveillent ! Propos recueillis par Acmé

RICKY MARTIN – Alors qu’il se rendait à Hong Kong avec toute son équipe pour assurer un concert, Ricky Martin a voyagé, malgré lui, avec des passagers clandestins. En effet, 19 membres de l’équipe technique de sa tournée étaient en fait des travailleurs russes en situation irrégulière. N’ayant aucun visa ni passeport valide, les hommes en question ont profité de la cohue provoquée par les fans à l’aéroport, pour se glisser à bord de l’avion qui conduisait la star sur l’île asiatique, évitant ainsi les habituels contrôles d’indentité. Malheureusement, ces voyageurs sans papiers ont eu beaucoup moins de chance à l’atterrissage, notamment lors du passage devant les agents de la douane qui les ont mis aussitôt en quarantaine. Le groupe aérien qui transportait Ricky Martin et toute son équipe a reconnu sa pleine responsabilité dans cette affaire devant les autorités locales.