photoDans sa chambre d’hôpital, Jean-Luc Delarue ne tient pas en place. Il parle vite, saute du lit, s’en va d’un bon pas avec son porte-perfusion dans le couloir, revient, se perche à nouveau sur son lit tel un sage. Même si son regard s’évade parfois, son esprit est vif et énergique. « J’ai un cancer, soit. Mais je vais guérir, annonce-t-il sans préambule. Et, puisque je suis malade et que j’ai besoin de m’occuper, je vais aider Anissa à lancer sa ligne de bijoux. Nous nous sommes associés. Sous …