Philippe Bouvard, la mort était déjà le thème de votre précédent livre, Je suis mort. Et alors ? …
Ce n’est véritablement qu’à partir de 50 ans, au moment où j’ai vu disparaître mes premiers amis, que j’ai commencé à en prendre conscience. Ce n’est pas pour autant une obsession, je dirais même que c’est devenu un jeu : comme à la roulette, on ne sait pas quand le mauvais numéro va sortir ! Et puis l’écriture de ce livre m’a apaisé.
Personne n’échappe à la mort, pas même un Immortel comm…