Le roman de Fitzgerald avait déjà connu quatre adaptations avant celle de Baz Lurhmann. La première était muette (1926), mais celle-ci nous laisse parfois sans voix. A l’image de ce qui s’est passé dans la salle ce matin lorsque le générique de fin a commencé à défiler. Ni applaudissement, ni sifflet, juste un long silence pour dire la perplexité dans laquelle le film a plongé certains.