Dans la lignée d’un Ritchie Valens, Trini Lopez a popularisé la musique hispanique.
Festives et joyeuses, ses chansons, parmi lesquelles  » If I had a hammer « , ont octroyé à l’interprète – guitariste le statut de vedette durant les années 60.

Connu comme chanteur, Trini Lopez également un guitariste de talent. Il maîtrise l’instrument dès ses quinze ans ce qui lui permet d’enregistrer les albums  » Teenage Love songs  » et  » More of Trini Lopez  » à la fin des années 50.
Les véritables débuts de l’artiste s’effectuent sous la houlette de Don Costa. L’arrangeur, qui compte déjà à son actif Paul Anka ou encore Franck Sinatra, est engagé en 1962 et enregistre  » Trini Lopez at PJ’s « , l’année suivante. Un live sur lequel le chanteur exulte et communique l’ambiance festive inhérente à la musique hispanique, cris ou encore sifflements.
Un genre popularisé avec son premier véritable succès  » If I had a hammer « , sorti en 1963. Une chanson de Pete Seeger repris par Peter, Paul et Mary puis plus tard par Claude François sous le titre  » Si j’avais un marteau « .
Après un passage en vedette à l’Olympia, au programme de Sylvie Vartan, il reprend des airs populaires comme  » La Bamba « ,  » Kansas City  » et  » What’d I say « . Toujours au rythme de la musique hispanique, il touche au folk ou encore à la R&B.
Le latin lover est également sollicité au cinéma. Il joue dans  » Les douze salopards  » de Robert Aldrich en 1967.