Après que plusieurs associations juives ont attaqué Google parce que le mot "juif était proposé automatiquement pour la plupart des requêtes (ce qui s'avère être le reflet des recherches des internautes), le moteur de recherche a accepté de revoir son algorithme. Au point de censurer (tant qu'à faire) beaucoup de mot et de noms, dont la plupart ont un caractère sexuel. Mais pas que. La preuve avec Cécile de Ménibus ou encore Martine Aubry, comme le relève Vincent Glad, chroniqueur au "Grand Journal", sur "Slate.fr".