photoLa défense du docteur Conrad Murray s’étiole de jour en jour. Hier, à la reprise du procès du médecin à Los Angeles, un nouveau témoignage a une nouvelle fois réfuté le scénario du docteur de Michael Jackson accusé d’avoir causé sa mort. Selon un expert anesthésiste, les quantités de sédatifs administrées au chanteur quelques minutes avant son décès sont beaucoup plus importantes que ce qui avait été déclaré à la police par le médecin. Le Dr Murray avait en effet expliqué avoir injecté en intraveineuse deux doses de 2mg de Lorazepam et deux doses de 2 mg de Midazolam. Le  » roi de la pop  » n’arrivant pas à dormir, une dose de 25 mg de Propofol lui aurait alors été également administrée par le Dr Murray. Ce dernier dit ensuite avoir laissé seul le chanteur  » deux minutes « , le temps de se rendre aux toilettes. A son retour, Michael Jackson était mort.