Le juge des référés du tribunal de grande instance de Saint-Denis a débouté ce lundi Valérie Bègue de sa demande de retrait de la vente du magazine  » Choc « , suite à la parution d’une nouvelle série de photos de charme.

Cette nouvelle publication était pour l’avocat de Miss France une  » atteinte à la vie privée et à l’image « . Ce dernier avait alors qualifié d’  » acharnement  » le comportement de la SCPE qui édite à la fois  » Choc « , mais également  » Entrevue « , magazine dans lequel était paru la première série de photos, et qui avait été lui retiré de la vente sur décision de justice.

Dans son jugement, le président du tribunal a donc donné raison à la SCPE en estimant que les photographies publiées ne sont « ni choquantes, ni équivoques ». Il également souligné que les commentaires accompagnant les photos établissent un « rapprochement » entre ces « clichés et le non respect par l’intéressée du règlement » du concours de Miss France qu’elle avait signé en affirmant n’avoir « jamais posé dans un état de nudité partielle ou totale ». Selon ce même tribunal, cette nouvelle série de photos publiées par Choc « peut donner à penser » que Valérie Bègue « a pu faire par omission ou par manque de sincérité, des déclarations contraires à la réalité ».