L'humoriste prend ses distances avec la pétition Touche pas à ma puteUn de moins! Les «343 salauds» viennent de perdre l'un des leurs. L'humoriste Nicolas Bedos ne veut plus être associé à cette «liste de réacs notoires dont certains ont fait preuve d'une misogynie militante», explique-t-il dans les colonnes du magazine Elle. Il n'est jamais trop tard pour faire son mea culpa.