NOIR DéSIR – Le 30 septembre, Nadine Trintignant a sorti Ma fille, Marie, un livre dédié à sa fille Marie, décédée le 1er août. Son éditeur a expliqué qu’il s’agit des « évènements de Vilnius tels qu’elle les a vécus ». Pas une fois dans le livre, elle ne cite Bertrand Cantat, le compagnon de Marie Trintignant. Elle préfère employer le terme de « meurtrier »… Morceaux choisis: « Ton meurtrier te voulait pour lui tout seul. Il s’est collé à tes pas. Tu as cru que c’était de l’amour. Ce n’était que de l’instinct de possession. Le contraire de l’amour », Ton meurtrier savait si bien se cacher. C’est plus tard, c’est après qu’on m’a dit qu’il était violent, aimait se castagner, avait déjà envoyé des femmes (dont la sienne) à l’hôpital. Elles n’ont pas porté plainte et nient aujourd’hui ce passé encombrant ». Olivier Mezner va engager une action judiciaire pour suspendre la diffusion de ce livre, édité à 140 000 exemplaires. « Je vais engager demain une procédure en référé pour demander soit la suspension du livre jusqu’à la tenue du procès, soit la suppression du mot « meurtrier » dans l’ouvrage (…) On le traite tout le long du livre de « meurtrier ». Je ne crois pas savoir qu’il ait été jugé pour cela ».