Le shérif Lee Baca de Los Angeles devait s’expliquer avant-hier sur la libération de Paris Hilton. Suite à la libération prématurée de la star, il est critiqué pour sa partialité.
Vendredi dernier, la riche héritière avait été libéré de prison, trois jours seulement après sa détention, avant d’y retourner le lendemain.
Coup de théâtre dans l’affaire Paris Hilton : la police de Los Angeles doit se justifier sur la libération octroyée à la star. Le shérif de Los Angeles devait indiqué s’il a autorisé un traitement de faveur à la chanteuse en la faisant hâtivement libérer de prison, trois jours seulement après qu’elle y soit entrée. Le juge avait alors dénoncé cette décision et avait ordonné que Paris Hilton retourne en prison dès le lendemain.
Le shérif de Los Angeles, Lee Baca, s’est déjà défendu contre les accusations de traitement de faveur et a confié que Paris Hilton avait été punie sévèrement par le juge « à cause de sa célébrité ». Il a expliqué que pour atténuer la surpopulation carcérale à Los Angeles, les détenus non dangereux et condamnés à de faibles peines étaient libérés après en avoir purgé 20%. Puis il a ajouté que Paris présentait des problèmes psychologiques suffisamment alarmants pour qu’on la libère. De son côté, le bureau du procureur de Los Angeles s’est révolté contre ces affirmations.
Ce conflit entre le shérif Lee Baca et le juge autour de Paris Hilton a déjà eu au moins un effet positif : plus d’attention envers le shérif, un élu du peuple qui se passionne pour les célébrités et ne cache pas son engouement pour l’église de scientologie.